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Jean-Marc
GOMEZ |

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Frontignan
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Témoignage |
Un
jour je suis
Mort |
«
Un jour
je suis mort » n’est pas une œuvre de
fiction,
mais la réalité
d’un homme qui a franchi «
la porte
». Son
combat pour survivre, vivre,
retrouver ses
facultés
physiques et intellectuelles est un
cri
d’espoir pour tous ceux qui
ont été confrontés à un
accident
grave, laissant des
séquelles qu’on taxe
parfois «
d’irréversibles ». Irréversibles
? Non.
Combien de jours, de
mois, de souffrance et de courage
faut-il pour avoir la force
de lutter contre ce que
beaucoup
nommeraient « la fatalité »
? Fatalité
?
Hors de
question. Jean-Marc est un battant, un gitan
comme
il se plait
à le souligner avec fierté. Il
nous
raconte le duel entre lui
et son handicap avec
beaucoup
de pudeur,
de tendresse, d’humour même. Ses
mots sont
parfois grossiers et
pleins de rage lorsqu’il
lutte,
souvent poétiques. Jean-Marc
nous révèle le côté
lumineux de
son être. Il ne
ressortira pas
de ce
combat vaincu, mais plus
fort, déterminé à vivre, à
aimer la vie et les gens. De la
poésie pour parler de
sa victoire, mais aussi des recherches
intéressantes sur
le côté
scientifique de son
aventure.
Jean-Marc
Gomez Vivant à Frontignan
dans le sud de la France depuis
cinquante ans, j’approche la
soixantaine en ayant traversé quand-même quelques
tempêtes. Après trente-sept ans de
travail dans le secteur
automobile en après-vente, je me retrouve
aujourd’hui en pré-retraite suite à un grave
accident cérébral qui m’a laissé
Dieu merci sans séquelles. J’occupe mon temps libre maintenant
sans limite à l’écriture, loisir
découvert il y a seulement quelques
années. Ma première prose raconte la réalité d’un
homme qui a franchi la porte. Il
est ainsi revenu plus fort,
déterminé à vivre et à aimer la vie et les gens. Mon autre
livre est un roman policier, une fiction saignante
où les cadavres s’alignent, mais pas
toujours dans un ordre
irréprochable. Le troisième,
quant à lui toujours en cours,
sera du même acabit. Le commandant
Matteï aura surement besoin d’aide, mais attention,
les balles volent bas… !
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